En moyenne, dans les pays de l’OCDE, quelque 65 % des élèves issus d’un milieu socio-économique favorisé indiquent connaître bien le concept de fonction du second degré ou en avoir souvent entendu parler, contre 43 % seulement de leurs pairs défavorisés.
En moyenne, dans les pays de l’OCDE, les 20 % d’élèves les plus exposés à des tâches de mathématiques pures (équations) devancent aux épreuves PISA de mathématiques les 20 % d’élèves les moins exposés à ce type de tâches de l’équivalent de près de deux années de scolarité. L’exposition à des tâches de mathématiques appliquées simples est bien moins fortement associée à l’obtention de meilleurs résultats.
Environ 19 % de l’écart de performance entre les élèves issus d’un milieu socio-économique favorisé et leurs pairs défavorisés peuvent s’expliquer par des différences de familiarité avec les mathématiques, un pourcentage qui dépasse même 30 % en Autriche et en Corée. En d’autres termes, il apparaît clairement que les élèves défavorisés se voient systématiquement dispenser un enseignement
de mathématiques de moindre qualité que leurs pairs favorisés.
Les élèves défavorisés bénéficient-ils des mêmes possibilités d'apprentissage en mathématiques ?
Document d’orientation
PISA à la loupe

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Résumé
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