• En matière de climat, les actions à réaliser en priorité devraient être celles qui offrent un rendement économique ou environnemental élevé par unité d’impact sur les gaz à effet de serre.
• Souvent, une meilleure conception des politiques de l’énergie, des transports et de gestion des ressources naturelles permet de réduire les émissions de gaz à effet de serre, pour un coût additionnel réduit voire nul.
• Dans les domaines de l’énergie et des transports, la planification des investissements et des réseaux se doit de justifier des contraintes probables futures en matière d’émissions, afin d’éviter de coûteux effets de blocage et une obsolescence prématurée du capital social.
• Les effets bénéfiques de la politique climatique sur la qualité de l’air et la santé, peuvent être considérables dans les mégapoles des pays en développement, voire dépasser ceux constatés dans les pays de l’OCDE qui ont déjà découplé, dans une certaine mesure, les émissions de carbone de la lutte contre la pollution.
• Un marché mondial des services relatifs à la stabilisation du climat prend forme peu à peu, sur lequel les pays en développement pourraient espérer se positionner en tant que fournisseurs nets.
Au-delà de Johannesburg
Politiques économiques et financières pour un développement respectueux du climat
Document d’orientation
Cahiers de politique économique du Centre de Développement de l'OCDE

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Résumé
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Document d’orientation1 août 2008
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