- Dans un contexte économique incertain, les pays doivent faire des choix entre la nécessité d’un programme d’austérité et le besoin d’investir dans la formation d’une main d’oeuvre hautement qualifiée.
- Le lien que l’on observe entre les dépenses par étudiant et les taux d’obtention d’un diplôme de niveau tertiaire est ténu – à niveaux de dépenses égaux, les pays obtiennent des résultats très différents.
- Le nombre d’années nécessaires à l’obtention d’un diplôme varie fortement d’un pays de l’OCDE à l’autre mais il apparaît que l’allongement de la durée des études n’est pas forcément une garantie d’obtenir une main d’oeuvre mieux qualifiée.
- Le risque d’obtenir une population trop qualifiée semble faible : des taux de scolarisation plus élevés n’entraînent pas d’augmentation du taux de chômage des diplômés. Au contraire, l’écart entre les individus les plus éduqués et les moins éduqués en matière de taux d’emploi montre que les pays doivent continuer à former une population de jeunes actifs hautement qualifiés.
Quelles sont les bonnes politiques pour former des jeunes actifs hautement qualifiés ?
Note de synthèse
Les indicateurs de l'éducation à la loupe

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Résumé
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