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Centre de développement

Vers ONU PMA 5 : Pour se relever de la COVID-19

 

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Lutter contre les vulnérabilités, optimiser les financements

En route pour la 5ème Conférence des Nations Unies
sur les pays les moins avancés (PMA 5) 

21 et 23 octobre 2020, 15h00 à 16h30 (CET)

Cliquez pour vous inscrire: Jour 1 / Jour 2

Téléchargez l'agenda

Une interprétation simultanée sera disponible en anglais et en français 



Première session : 21 Octobre 2020, de 15h00 à 16h30 (CET)

COVID-19 : Quels impacts sur la vulnérabilité des pays les moins avancés, et comment les soutenir ?

 

La crise de la COVID-19 est en train d’annuler des années de progrès en matière de développement. C’est l’occasion de repenser la vulnérabilité économique des pays les moins avancés (PMA) et des pays en développement en général, ainsi que le soutien que la communauté internationale leur apporte. La vulnérabilité, l’un des principaux critères d’inclusion des pays dans la liste des PMA, est mesurée par l’indice de vulnérabilité économique et environnementale (EVI), qui évalue la vulnérabilité structurelle d’un pays donné aux chocs économiques et environnementaux. Les préoccupations croissantes concernant l’exposition aux chocs internationaux, ainsi que de l’aggravation de plusieurs risques, nous poussent à repenser la manière d’évaluer les différentes formes de vulnérabilités, et à nous assurer de l’efficacité de l’aide que le système international apporte aux PMA. Ce premier panel débattra de ces questions afin d’éclairer le processus de préparation de la Conférence PMA 5, qui doit se tenir à Doha, au Qatar, en janvier 2022. Pour davantage d’informations.

Téléchargez la note d'information : La vulnérabilité des pma face à la covid-19

 

15h00 – 15h15

Message de bienvenue et résultats attendus

  •  Manuel ESCUDERO, Représentant permanent de l’Espagne auprès de l’OCDE (Président de la Réunion du Conseil de l’OCDE au niveau des ministres 2020), Président du Comité directeur du Centre de développement de l’OCDE

Présentation

  • Fekitamoeloa Katoa ‘UTOIKAMANU, Haute Représentante pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral et les petits États insulaires en développement, UN OHRLLS

15h15 – 15h30

Contexte : Mesurer les vulnérabilités et s’y attaquer

  •  Patrick GUILLAUMONT, Président, FERDI

15h30 – 16h15

Panel – Quelles devraient être les priorités de la ‌ 5 pour s’attaquer aux vulnérabilités?

  • Myriam DOSSOU-D'ALMEIDA, Ministre du développement à la base, de la jeunesse et de l’emploi des jeunes, Togo
  • Perks LIGOYA, Représentant permanent du Malawi aux Nations Unies à New York (Président du groupe des PMA)
  • Susanna MOOREHEAD, Présidente, Comité d’aide au développement
  • John LICHT, Ambassadeur de Vanuatu pour l’UE et la France
  • Nabila MUSLEH, Vice-Ministre des Affaires des femmes, Afghanistan
  • Kunal SEN, Directeur, United Nations University - World Institute for Development Economics Research (UNU WIDER)

Modérateur :
Mario PEZZINI, Directeur du Centre de développement de l’OCDE et Conseiller spécial du Secrétaire général de l’OCDE sur le développement

16h15 – 16h25

Questions-réponses

Ali
SABUNCU
, Chef de la recherche sur le développement économique et social, Présidence de la stratégie et du budget, Présidence de la République de Turquie

16h25 – 16h30

Conclusions

Patricia SCOTLAND, Secrétaire générale, Commonwealth

 

 

Deuxième session : 23 octobre 2020, de 15h00 à 16h30 (CET)

Financer la reprise dans les PMA : quel rôle pour la coopération internationale ?

Avant même que la crise de la COVID-19 n’atteigne les PMA, le dernier rapport du Secrétaire général des Nations Unies sur la mise en œuvre du Programme d'action d'Istanbul (PAI) faisait déjà état de préoccupations croissantes concernant le progrès de leur développement et les mesures pour les soutenir après leur graduation. Le rapport montrait que les investissements étrangers directs avaient encore diminué et que la part des exportations des PMA dans le commerce mondial restait faible. Il soulignait également que leur transformation structurelle et leurs gains en termes de capacités de production avaient été lents, leurs économies s’appuyant encore largement sur les produits de base. Enfin, la croissance du taux de sous-alimentation dans les PMA était déjà un sujet de préoccupation. Avec la crise, le financement de la reprise devra faire face à tous ces défis, et d’autres plus considérables encore. Il faudra les prendre en compte pour permettre aux PMA de surmonter les vulnérabilités évoquées lors du premier panel, et de s’embarquer sur une solide trajectoire de développement durable, y compris après leur graduation. Aussi, ce deuxième panel examinera les options susceptibles d'augmenter la mobilisation, l'impact et l'alignement du financement du développement durable dans les PMA.

Téléchargez la note d'information : Financer la reprise dans les PMA: quel rôle pour la coopération internationale ?

15h00 – 15h15

Remarques introductives des institutions partenaires

  • Ángel GURRÍA, Secrétaire général de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE)

15h15 – 15h30

Présentation

  • Jose ANTONIO OCAMPO, Président du Comité des Nations Unies pour les politiques de développement

15h30 – 16h15

Panel – Mobilisation, impact et alignement du financement du développement durable : Quelles priorités pour la Conférence PMA 5 ?

  • Sileshi BEKELE, Ministre de l’Eau, de l’irrigation et de l’énergie, Éthiopie
  • Isabelle DURANT, Secrétaire générale adjointe, CNUCED (à confirmer)
  • Koen Doens, Directeur général pour la Coopération internationale et le développement, Commission européenne
  • Khalifa Bin Jassim AL-KUWARI, Directeur général du Fonds du Qatar pour le développement
  • Sarah SSEWANYANA, Directrice exécutive, Economic Policy Research Centre, Ouganda, membre de Southern Voice
  • Ratnakar ADHIKARI, Directeur exécutif, Cadre intégré renforcé, Organisation mondiale du commerce
  • Matt REED, PDG de la Fondation Aga Khan (AKF) pour le Royaume Uni et Directeur pour le monde des Partenariats institutionnels AKF

Modérateur :
Debapriya BATTACHARYA, Président du Consortium LDC IV Monitor, Président du réseau de centres de recherches sur le développement Southern Voice,
membre émérite du Centre for Policy Dialogue

16h15 – 16h25

Questions-réponses

  • Interventions éventuelles d’autres partenaires

16h25 – 16h30

Conclusions
  • Fekitamoeloa Katoa ‘UTOIKAMANU, Haute Représentante pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral et les petits États insulaires en développement, UN OHRLLS

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