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Examens par les pairs des membres du CAD

Nouvelle-Zélande - CAD Examens par les pairs de la coopération pour le développement

 

D’après l’OCDE, la Nouvelle-Zélande serait en mesure de rehausser le niveau d’ambition de son programme d’aide au développement

Pour les petits États insulaires qui sont ses voisins, la Nouvelle-Zélande est un partenaire apprécié qui achemine son aide avec efficacité et utilise  son expérience des catastrophes naturelles pour promouvoir la gestion des risques dans la région. En complément de son programme d’aide au développement, elle s’appuie sur des systèmes à caractère libéral pour les échanges et l’emploi en vue de soutenir les pays pauvres, selon le dernier Examen par les pairs consacré à la Nouvelle-Zélande.

Cependant, pour ce qui est du montant de l’aide fournie, la Nouvelle-Zélande est distancée par les autres donneurs du Comité d’aide au développement de l’OCDE (CAD). L’Examen recommande que le pays profite du redressement de son économie pour rehausser le niveau de ses ambitions et arrêter un calendrier pour rapprocher le budget de son programme d’aide de l’objectif de 0,7 % du revenu national brut (RNB) convenu à l’échelle internationale pour les donneurs.

Lire plus

 

 

A propos de cet examen

Nouvelle-Zélande : historique des examens par les pairs

 

Mise en œuvre des recommendations formulées lors de l'examen par les pairs

NZ Donut 2015 FRE

 A propos de la mise en œuvre des recommandations de 2010

Liens Utiles

 

La Nouvelle-Zélande face aux catastrophes : un exemple de pratique à suivre

L'expérience de la Nouvelle-Zélande en tant que nation sujette aux catastrophes l’a poussée à s’engager clairement auprès de ses pays partenaires pour stimuler leur capacité de résilience principalement face aux risques liés aux catastrophes et au changement climatique. La Nouvelle-Zélande partage les enseignements tirés de catastrophes nationales, dont la plus récente est le tremblement de terre de Christchurch en 2011, avec ses partenaires multilatéraux, qui sont poussés à mieux intégrer les aspects de réduction des risques de catastrophe dans leurs programmes. La programmation bilatérale met l'accent sur le renforcement des capacités de réponse nationales et régionales via des fonds destinés tant à l'humanitaire qu'au développement, et en capitalisant sur l'expertise de son administration. Les programmes bilatéraux visant à renforcer les capacités de résilience intègrent généralement une perspective de long terme, notamment en incitant l'administration du pays partenaire à donner la priorité à la réduction des risques et prévoir les allocations budgétaires adéquates.

Les autres donneurs pourraient s’inspirer de l’approche de réduction des risques développée par la Nouvelle-Zélande.

Pour en savoir plus (en anglais uniquement).

 

Documents connexes